La pauvreté et la prostitution seraient à l’origine de l’homosexualité chez certains individus. Cette pratique immorale affecte progressivement la société camerounaise, d’où l’urgence de barrer la voie au phénomène.
Des crises morales ou des troubles de personnalité peuvent amener certains individus à se livre à des pratiques homosexuelles. Très souvent le désir de transcender ses limites lors d’un ébat sexuel, pousse certains à renier leur nature biologique «Il y a des personnes qui se sentent attirées par d’autres personnes du même sexe, et peut-être de part leur constitution physique, ils sécrètent en eux des hormones qui vont dans le sens du même sexe aussi.» affirme Agnès Christelle Ndondo, sociologue.
La pauvreté, moteur de la prostitution, serait aussi à l’origine de la recrudescence de ce phénomène dans la société Camerounaise. Très souvent, le marché de la prostitution est saturé par des personnes de sexe opposé. Or les femmes, par exemple, seraient maintenant, plus en clin à se livrer à d’autres femmes qui vont leur donner plus d’argent que les hommes. En outre, les pratiques exotériques sont régulièrement pointées du doigt pense Agnès Christelle Ndondo. «Plusieurs personnes pratiquent l’homosexualité, parce qu’elles sont obligées de se conformer aux rituels de leur cercle d’appartenance ou d’influence» poursuit la sociologue.
Instaurer un climat de dialogue avec les enfants
Face à la délicatesse de la situation, il devient urgent de mettre les enfants à l’abri en instaurant un climat de dialogue avec ces derniers. «C’est pour que les enfants puissent très facilement rapporter tous les cas de tentatives d’attouchement. Du point de vu institutionnel, il faut veiller à ce que ceux qui pratiquent l’homosexualité soient punis au même titre que les pédophiles.» déclare Agnès Christelle Ndondo.»
Cependant, la dimension spirituelle de l’acte sexuel doit être enseignée aux enfants, dès leur plus jeune âge ; les saintes écritures n’autorisant pas la pratique de l’homosexualité. En plus, il faudrait développer une identité culturelle forte, celle où l’homosexualité n’en fait pas partie.