Un rapport paru le 18 janvier 2022 fait état de certaines agressions sexuelles commis lors de l’élection présidentielle de 2017. Selon ce rapport conjointement rédigé par la fédération internationale pour les droits humains et la fédération kenyane des droits de l’homme, des violences sexuelles auraient été utilisées comme arme politique. Elles auraient eu lieu dans les bastions de l’opposition. On parle ici de mutilations génitales, circoncisions masculines forcées, viols collectifs…. Les auteurs du rapport s’inquiètent du manque de justice après ces violences. Notons que ce rapport sort à neuf (09) mois de la présidentielle prévue en août 2022.