LA LETTRE DE MINOUCHE NGO BISSOHON À CABRAL LIBII
LA LETTRE DE MINOUCHE NGO BISSOHON À CABRAL LIBII
LA LETTRE DE MINOUCHE NGO BISSOHON À CABRAL LIBII
Manger trop gras, trop sucre, trop salé, un mode alimentaire qui favorise l’accroissement des maladies cardio-vasculaires. Il s’agit d’une urgence médicale qui peut-être fatale. Elle entraine des séquelles d’autant plus invalidantes que la prévention n’aura pas été prise en compte. La pratique régulière d’un sport n’est pas à négliger.
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L’alcool et la grossesse ne font pas bon ménage. Même consommé à faible dose, l’alcool peut avoir des conséquences sur la croissance du fœtus. Ce sont entre autres des malformations physiques, cardiaques et neurologiques.
La pauvreté et la prostitution seraient à l’origine de l’homosexualité chez certains individus. Cette pratique immorale affecte progressivement la société camerounaise, d’où l’urgence de barrer la voie au phénomène.
La prise de son et d’image se heurte à un certain nombre de problèmes, qui rendent difficile le travail des techniciens de l’audio-visuel. Ces derniers peinent à bien exercer leur art, parce que confrontés aux difficultés d’ordre financiers et matériels.
Pour plusieurs raisons entre autres le travail, des mamans privent leurs bébés du lait maternel les exposant ainsi à de nombreuses maladies.
La ménopause est l’arrêt de certaines fonctions des organes génitaux chez la femme. Pendant cette période de la vie, la femme cesse d’avoir ses règles et ne produit plus les œstrogènes, ce qui induit des symptômes tels que des bouffées de chaleur, la fatigue, la sécheresse vaginale et des insomnies.
Il n’y a pas d’exception pour le pays de Samuel Eto’o. Comme partout ailleurs dans le monde, la femme camerounaise subit le chômage de plein fouet. Le document de stratégie pour la croissance et l’emploi révèle que les femmes sont les plus touchées par le chômage au Cameroun avec un taux de 4, 5% contre 3,1% chez les hommes. Par ailleurs, une étude menée par l’organisation internationale du travail montre que les femmes représentent moins de 50% de la population active dans le monde. Entre maternité et salaire de misère, le fossé est grand pour se faire une place au soleil.